Des gars qui courent, contre eux-mêmes ou après un ballon, en ligne droite ou en rond, en moins de 10 secondes ou pendant une heure et demi. Des filles qui sautent, qui lancent, qui jettent. Des types qui se rentrent dedans, des jeunettes qui se cognent. Dans tous les cas, des muscles qui se tendent. Des corps, et sans aucun doute aussi des esprits, qui souffrent. C'est con, le sport. Je suis le premier à l'avouer, et pourtant. Pourtant, je cours chaque semaine après ma dose d'endorphines. Pas pour sculpter mon corps, juste pour m'y sentir un peu mieux. Pourtant, je suis plein d'admiration pour la vivacité et l'endurance d'un type qui s'appelle Arnaud et qui joue milieu juste à côté de moi le dimanche matin. Pourtant, je rêve parfois que je suis un troisième ligne aussi véloce et mobile qu'un Dusautoir.
La suite est sur Strictement Confidentiel (sans aucune allusion à Silmarils, mais avec du Mates of State, du Idaho, du Tom Petty, une pub Nike avec Johnny Cash, Will Ferrel et surtout Michael Collins). Bonne lecture (c'est un bon gros pavé).
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